Veste Bombers Sukajan – Motif brodé Grue Gold Black Japon

Petite histoire:
Selon la légende, l’histoire du souvenir jacket proviendrait de la volonté d’un marine américain en station à la base navale de Yokosuka, qui, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale aurait eu l’idée de faire broder, sur sa veste de baseball, ses faits d’armes et son interprétation personnelle de la culture japonaise.

L’engouement du souvenir jacket sera tel, que la demande pour ces vestes va exploser. On raconte même que les tailleurs se seraient servis d’excédents de voilures de parachutes pour en fabriquer davantage, donnant à la veste sa brillance grâce à la soie des parachutes!!
” 3 qui imitent déjà les marines en portant des jeans, des vestes en cuir et même leur coupe de cheveux . La souvenir jacket ne fait pas exception : les sukaman se l’approprient.

Ces blousons intriguent les jeunes japonais du mouvement de mode appelé “sukaman” (contraction de Yokosuka Mambo), ils reprendront certains éléments du style civil des militaires de la base de Yokosuka , e portant des jeans, des vestes en cuir, et allant parfois jusqu’à imiter la coupe de cheveux des américains (la pompadour à la James Dean). sera rebaptisé: sukajan

Dès lors le souvenir jacket passe du statut d’objet souvenir à celui de symbole de rébellion contre la société mainstream et acquiert alors un nouveau nom : celui de sukajan (pour « Yokosuka jumpers »).

Et cela ne s’arrête pas là : avec le film “Buta to Gunkan” (Cochons et Cuirassés – 1961) de Shohei Imamura, qui habille son personnage principal avec un sukajan, la souvenir jacket entre définitivement dans la culture japonaise et gagne une notoriété nationale.Le sukajan devient l’équivalent du blouson noir, le perfecto en cuir de Marlon Brando dans L’Équipée sauvage (1953), c’est le blouson des rebelles et des mauvais garçons.

Le sukajan reste inconditionnellement un manteau rempli de symbolismes continuant de raconter les histoires et références entre les cultures américaines et japonaises. Une pièce intemporel constamment remis au goût du jour avec différents univers esthétiques, bikers, tatouages, rock… Rebelle ou juste libre, cette pièce apportera énormément à votre vestiaire.
Petite histoire:
Selon la légende, l’histoire du souvenir jacket proviendrait de la volonté d’un marine américain en station à la base navale de Yokosuka, qui, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale aurait eu l’idée de faire broder, sur sa veste de baseball, ses faits d’armes et son interprétation personnelle de la culture japonaise.

L’engouement du souvenir jacket sera tel, que la demande pour ces vestes va exploser. On raconte même que les tailleurs se seraient servis d’excédents de voilures de parachutes pour en fabriquer davantage, donnant à la veste sa brillance grâce à la soie des parachutes!!
” 3 qui imitent déjà les marines en portant des jeans, des vestes en cuir et même leur coupe de cheveux . La souvenir jacket ne fait pas exception : les sukaman se l’approprient.

Ces blousons intriguent les jeunes japonais du mouvement de mode appelé “sukaman” (contraction de Yokosuka Mambo), ils reprendront certains éléments du style civil des militaires de la base de Yokosuka , e portant des jeans, des vestes en cuir, et allant parfois jusqu’à imiter la coupe de cheveux des américains (la pompadour à la James Dean). sera rebaptisé: sukajan

Dès lors le souvenir jacket passe du statut d’objet souvenir à celui de symbole de rébellion contre la société mainstream et acquiert alors un nouveau nom : celui de sukajan (pour « Yokosuka jumpers »).

Et cela ne s’arrête pas là : avec le film “Buta to Gunkan” (Cochons et Cuirassés – 1961) de Shohei Imamura, qui habille son personnage principal avec un sukajan, la souvenir jacket entre définitivement dans la culture japonaise et gagne une notoriété nationale.Le sukajan devient l’équivalent du blouson noir, le perfecto en cuir de Marlon Brando dans L’Équipée sauvage (1953), c’est le blouson des rebelles et des mauvais garçons.

Le sukajan reste inconditionnellement un manteau rempli de symbolismes continuant de raconter les histoires et références entre les cultures américaines et japonaises. Une pièce intemporel constamment remis au goût du jour avec différents univers esthétiques, bikers, tatouages, rock… Rebelle ou juste libre, cette pièce apportera énormément à votre vestiaire.